Away from the trenches, boredom was the soldier’s worst enemy. To keep themselves busy, they spent their leisure time writing letters, reading, drawing, singing, drinking, playing sport and games, gambling, visiting brothels and being entertained by movies and theatrical performances. Theatre troupes and concert parties were formed from suitably talented solders and invariably included a female impersonator. Entertainment was another much-discussed topic in solders' correspondence.
Loin des combats, l’ennui était le pire ennemi des soldats. Pour tuer letemps, leurs loisirs consistaientà écrire des lettres, lire, dessiner, chanter, boire, faire du sport, jouer et parier. Ils assistaient aussi à des spectacles, fréquentaient les maisons closes, et se distrayaient devant des films de Charlie Chaplin et des pièces de théâtre. Des troupes de théâtre et des orchestres se formèrent à partir de volontaires disposant d’un certain talent, et un acteur travesti en femme constituait souvent le clou du spectacle. Les soldats parlaient aussie souvent de leurs loisirs à leur famille.

"The Field Vaudeville Theatres have become a recognised feature of our soldier life. And everybody is grateful for them. They are something more thana luxury—they are a necessity. Just as physical jerks are necessary to provide exercise to keep the body fit, so the field theatre is necessary to provide mental recreation to keep the mind fit."
« Les vaudevilles et le music-hall du théâtre aux Armées sont maintenant reconnus comme une partie importante de la vie des soldats. Et tout le monde en estreconnaissant. Plus qu’un luxe–ils sont une nécessité. Tout comme l’exercice physique est vital au corps pour rester en forme, le théâtre aux Armées est nécessaire au bien-être de l’esprit. »
Aussie: The Australian Soldiers’ Magazine, AIF Printing Section, Issue 3, March 1918, p.4.
"I have a piece of music here entitled Quand Madelon. It is a very popular tune in this town at present and I will probably post it during the week."
« J’ai un morceau de musique ici intitulé Quand Madelon. C'est une chanson très populaire dans cette ville actuellement et je vais probablement vous l’envoyer pendantle weekend-end. »
Ray Jones (c.1889-?) Letter, 1 October 1917, Ray Jones Collection, University of Melbourne Archives.




"The other evening, I and a pal went to the Théâtre des Arts to hear the opera Carmen and I tell you we enjoyed ourselves immensely. The cast was all French but that did not detract from our enjoyment and appreciation in the least."
« L’autre soir, un copain et moi sommes allés au Théâtre des Arts pour écouter l’opéra Carmen et je peux vous dire qu’on a pris un immense plaisir. Le casting était intégralement français mais cela ne nous a pas empêché d’apprécier et de trouver satisfaction, bien au contraire. »
Ray Jones (c.1889-?), Letter, 15 October 1917, Ray Jones Collection, University of Melbourne Archives.